Maintenance :
Une couche d'au moins 5 cm d'air humide doit être disponible au-dessus de la surface de l'eau où les poissons peuvent se "détendre" sur tout matériau émergé). Attention aux moindres petits trous laissés, c'est un redoutable sauteur. Une eau légèrement acide de faible conductivité ("eau de pluie"), sans trop de remous. Le substrat du fond est idéalement constitué de sable et de feuilles de chêne mortes pour produire des composés humiques.
Plutôt tolérant en termes de température, de lumière et de teneur en oxygène.
Nourriture :
Fourmis et autres insectes
Lieu de ponte :
le mop doit être confectionné avec un grand bouchon de liège épais de façon à ce que sa partie émergée soit significative et que les poissons puissent y frayer.
Costa (2004) place cette espèce proche d'astratus. Klee (1963) fait état d'un commerce d'importation avec les caractéristiques de l'espèce {mal identifiée comme beniensis} du fleuve Acre dans le sud du Pérou. Mais depuis lors, aucune confirmation de rectocaudatus provenant d'ailleurs que de la région d'Iquitos dans le nord du Pérou n'a jamais été publiée et il est possible que le commerce d'importation ait en fait été en provenance d'Iquitos, comme l'a également mentionné Klee.
Ensuite, placé différemment par Costa (2006) dans le sous-genre Owiyeye.
Addis (2015) montre une image en couleur d'une population de Leticia, une ville de Colombie, très proche de la frontière du Pérou et du Brésil (l'identification semble correcte même si elle est assez éloignée de la zone de répartition)
Note : les auteurs, suivant Costa (2011, dans sa revue des noms génériques), utilisent comme nouvelle combinaison Laimosemion rectocaudatus mais c'est une erreur puisque le genre est neutre (le nom correct est Laimosemion rectocaudatum, s'il est séparé de Rivulus comme genre distinct, contrairement à ce qui est indiqué ici).
